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Comment travaille un paysagiste ?

Comment travaille un paysagiste ?

Nous connaissons tous les œuvres des paysagistes. Ce sont eux qui façonnent nos parcs publics, nos espaces urbains végétalisés, nos aires d’autoroute et bien sûr, nos jardins. Sans eux, le paysage nous semblerait beaucoup moins beau. Mais comment travaille un paysagiste, exactement ?

La conception paysagiste englobe un large panel de compétences. Le paysagiste doit composer non seulement avec les saisons, mais aussi avec l’aspect esthétique, technique et administratif de l’aménagement. 

Découvrez toutes les facettes du métier de paysagiste avec Expression Paysagère, votre paysagiste du Luberon.

COMMENT TRAVAILLE UN PAYSAGISTE : AVEC UN CAHIER DES CHARGES

Comment travaille un paysagiste : avec un cahier des charges

Le travail du paysagiste commence tout d’abord avec le cahier des charges. À l’instar de tout autre projet de construction, l’aménagement paysager doit respecter de nombreux critères très variés.

Les projets et les souhaits du client jettent les lignes directrices du cahier des charges. L’aspect pratique de l’espace entre également en compte. En parallèle au côté esthétique, l’aménagement paysager joue également un rôle pratique avec l’installation d’accessoires divers (bancs, jeux pour enfants, voies de circulation, etc.).

Le paysagiste doit ensuite transposer ce projet à la réalité du terrain. C’est pourquoi il doit prendre en compte les critères techniques tels que le climat ou encore la topographie du sol. De plus, l’aspect juridique et administratif entre également en jeu. Devis, analyse du terrain, permis de construire, démarches auprès des institutions publiques… Le paysagiste doit entamer toutes les procédures légales avant de lancer son chantier.

Enfin, certains aménagements entraînent des travaux importants, comme la plomberie ou le terrassement. Là encore, le paysagiste peut être amené à consulter les plans de tuyauterie ou le réseau d’électricité en vue de procéder aux travaux.

Comment travaille un paysagiste : l’importance du travail d’équipe

De par la nature très variée des travaux à réaliser, le paysagiste va collaborer avec différents professionnels.

Les jardiniers, bien sûr, vont de pair avec le paysagiste. Si ce dernier se charge de choisir les essences et la disposition de la plantation, c’est le jardinier qui les entretient. De même, il n’est pas rare pour les paysagistes de travailler en équipe avec des architectes ou des ingénieurs. C’est particulièrement vrai lorsqu’il se charge d’aménagements paysagers qui entrent dans le cadre d’un plan d’urbanisation de grande ampleur.

Enfin, il ne faut pas oublier que le paysagiste travaille en étroite collaboration avec ses clients ! Ces derniers sont issus de secteurs très variés : des particuliers, mais aussi des professionnels comme des mairies, des directeurs d’établissements publics, des chefs d’entreprise, etc. Le paysagiste doit pouvoir comprendre leurs besoins en vue de se conformer à leurs attentes. Il lui faut donc faire preuve d’écoute et de flexibilité.

L’ADAPTABILITÉ, UNE QUALITÉ INDISPENSABLE AU TRAVAIL DU PAYSAGISTE

L’adaptabilité, une qualité indispensable au travail du paysagiste

Le paysagiste va se trouver confronté à des projets et à des clients très différents. On peut le solliciter pour créer un jardin privé, réhabiliter un parc public, enjoliver les espaces extérieurs d’un hôpital, végétaliser un centre-ville, etc. Chaque espace dispose de ses propres caractéristiques. Certains vont nécessiter une réflexion poussée sur les voies de circulation et la cohabitation entre le végétal et le béton. D’autres vont favoriser l’aspect esthétique et l’harmonie des couleurs.

Face à ces défis de natures très diverses, le paysagiste doit disposer de deux compétences essentielles : la créativité et l’ingéniosité. Il doit pouvoir faire preuve de flexibilité afin d’adapter sa réflexion à l’espace sur lequel il travaille.

Il lui faut aussi prendre en compte les besoins de ses clients. Les demandes d’un chef d’entreprise souhaitant créer un espace vert autour de ses locaux vont différer de celles d’une école qui cherche à installer un potager pédagogique à destination des enfants. Pour chaque projet, le paysagiste va cerner les priorités de ses clients : l’esthétisme, la sécurité, les végétaux, etc. Il est, pour ses clients, l’intermédiaire qui les relie à leur projet. Il remplit donc un rôle d’écoute et de conseil majeur.

En conclusion

Vous l’aurez compris, le paysagiste coiffe plusieurs casquettes. Son travail s’articule autour des compétences très techniques relatives à la botanique, l’architecture et travaux paysagers. En parallèle, il doit se montrer créatif, avec un œil sensible à la beauté et à l’harmonie de l’espace. Il lui faut également rester attentif aux demandes de ses clients et prévoir son projet sur le long terme.

C’est donc un métier aux missions très polyvalentes. La souplesse et la flexibilité font partie des qualités indispensables au paysagiste. Et ce sont bien ces compétences que nous favorisons chez Expression Paysagère, votre expert paysager du Luberon.

Comment faire un mur en pierre ?

Comment faire un mur en pierre dans votre jardin ? Ce type de chantier peut sembler simple de prime abord. Néanmoins, un mur solide et qui dure dans le temps exige un certain savoir-faire et beaucoup de rigueur.

Depuis les fondations jusqu’aux ajustements finaux, découvrez comment faire un mur en pierre avec Expression Paysagère. Votre paysagiste du Luberon vous détaille la marche à suivre, étape par étape.

Avant de construire le mur en pierre, créer les fondations

Les fondations sont indispensables avant de construire le mur. Ce sont elles qui vont assurer sa stabilité et sa solidité.

Pour créer des fondations, vous devez creuser une tranchée. Elle doit s’enfoncer à 40 cm de profondeur au moins. N’hésitez pas à la creuser jusqu’à 50, voire 60 cm de profondeur. Surtout si vous prévoyez de construire un mur en pierre assez élevé.

En parallèle, veillez à ce que la largeur de la tranchée excède de 30 cm celle de votre futur mur. Ainsi, pour un mur d’une largeur de 40 cm, votre tranchée mesurera 70 cm de large.

Solidifiez le fond de votre tranchée avec une base en béton armé. Elle conféra une assise stable sur laquelle s’appuiera le mur. De cette manière, vous évitez les risques d’effondrement.

Laissez sécher le béton pendant une semaine (7 jours) avant de procéder à l’étape suivante.

AVANT DE CONSTRUIRE LE MUR EN PIERRE, CRÉER LES FONDATIONS

Les pierres, naturelles ou des briques ?

Vous avez le choix entre des briques ou des pierres sèches.

Les briques présentent l’avantage d’être complètement identiques.  Elles sont donc parfaitement stables et régulières. Vous pouvez les disposer librement pendant l’assemblage du mur de pierres, sans craindre pour sa solidité.

En revanche, les pierres naturelles présentent des tailles et des formes différentes. Elles offrent ainsi un résultat plus esthétique et naturel. Il faudra les trier pour les disposer à des endroits différents du mur.

  • Les plus grosses pierres : elles vont constituer le support fondateur du mur. Utilisez-les pour constituer le cœur du mur, autrement dit, son épaisseur.
  • Les pierres aux formes les plus régulières : elles sont parfaites pour former les angles de votre mur. Conservez-les donc pour former les extrémités.
  • Les cailloux et petites pierres : mettez-les de côté afin de les utiliser pour combler les interstices une fois le mur assemblé.

Veillez aussi à sélectionner les pierres naturelles les plus belles à l’œil. Elles garniront la façade du mur et lui conféreront un bel aspect.

Construire le mur en pierre

Il est maintenant temps de construire votre mur en pierre !

Tout d’abord, occupez-vous du mortier. Pour un mur de pierres, nous vous conseillons de favoriser un mortier de chaux. Il se compose d’un volume de chaux pour deux volumes de sable.

Pensez ensuite à marquer l’espace qu’occupera le mur avec des piquets. Cela vous aidera à vous le représenter dans l’espace.

Étalez une couche de mortier. Placez ensuite la première rangée de pierres, en commençant par les angles. Aidez-vous d’une masse pour bien tasser les pierres contre le mortier. Disposez de cette manière chaque rangée de pierres, en commençant par les façades externes, et en terminant par l’intérieur.

Recouvrez soigneusement ces premières rangées de pierres de mortier. Servez-vous d’une truelle pour bien lisser le mortier. Assurez-vous d’en mettre une couche épaisse. En effet, ce mortier servira de base à la rangée de pierres suivante.

Disposez la rangée suivante de pierres. Veillez à décaler légèrement les joints par rapport aux pierres du dessous. Cela assurera la stabilité du mur. Laissez toujours le mortier sécher pendant une journée avant de procéder à la rangée du dessus. 

Veillez à vérifier régulièrement que votre mur soit bien horizontal et bien vertical. Pour ce faire, munissez-vous d’un niveau à bulle et d’un cordeau

CONSTRUIRE LE MUR EN PIERRE

En conclusion

La construction d’un mur en pierre nécessite certaines connaissances en physique et en architecture. Les travaux prennent du temps et de l’énergie, depuis la création de la tranchée jusqu’au tri des pierres, en passant par la fabrication du mortier. La moindre erreur pendant la construction peut donc entraîner l’effondrement du mur.

Aussi, nous vous recommandons fortement de vous aider par des professionnels. Expression Paysagère, votre expert paysagiste situé dans le massif du Luberon, au cœur du Vaucluse, peut vous proposer son expertise. Nos équipes sauront guider vos choix et accompagner vos travaux pour la construction de votre mur.

3 raisons pour créer un jardin sec !

Le jardin sec mêle des plantes adaptées au climat aride à des constructions de pierre. D’ailleurs, le minéral est omniprésent dans ce genre d’aménagement paysager. Mais au fait, pourquoi créer un jardin sec ?

Le jardin sec cumule plusieurs avantages, particulièrement intéressants au vu des changements climatiques récents. La hausse des températures constitue un milieu bénéfique à des plantes adaptées à la chaleur et à la sècheresse.

Découvrez les trois grands avantages à créer un jardin sec avec votre paysagiste du Luberon, Expression Paysagère.

Parce que le jardin sec est économe en eau (et en argent)

Le jardin sec est ainsi appelé, car il consomme très peu d’eau. Il se compose de végétaux qui ne boivent pas beaucoup. On pense notamment aux cactées, aux plantes grasses ou encore à certains aromates.

La nature étant bien faite, ces plantes disposent des mécanismes nécessaires pour stocker l’eau. Elles peuvent donc endurer de longues périodes sans arrosage. Avec les restrictions d’eau imposées dans certains départements français, ce type de végétal offre une alternative idéale pour aménager un jardin malgré les grosses chaleurs. De plus, vous économiserez du temps et de l’argent.

Dans l’idéal, un jardin sec ne requiert aucun arrosage. Mais attention ! Cela n’est valable qu’une fois que les plantes sont bien installées. Les végétaux adaptés au climat aride disposent de racines qui s’enfoncent profondément afin de chercher l’eau. 

Ces massifs que vous venez de planter n’ont pas encore de grosses racines. Aussi, elles auront besoin d’un arrosage régulier pendant les premiers mois, soit une fois par semaine. Elles s’endurciront au fil du temps, et vous pourrez espacer, puis arrêter l’arrosage et le jardinage de manière progressive.

Parce que le jardin sec est économe en eau (et en argent)

Parce qu’il favorise les plantes aromatiques et les fleurs odorantes

Il suffit de regarder dans les régions du Sud pour se rendre compte qu’elles sont très riches en plantation aromatique. Vous connaissez sûrement les célèbres herbes de Provence !

Bien entendu, les aromates ne sont pas seulement l’apanage des biotopes arides. Néanmoins, on en trouve énormément, qui ont fait le succès de bien des gastronomies.

Thym, origan, romarin ou encore laurier… Toutes ces herbes tant odorantes qu’esthétiques se plaisent tout particulièrement dans les jardins secs. Elles n’ont pas besoin d’arrosage, s’épanouissent au soleil et supportent bien les chaleurs. Mieux encore : leur arôme s’accentue lorsque les températures sont élevées !

Les semences florales sont également mises à l’honneur au sein des jardins secs. Nous pensons habituellement à la traditionnelle lavande, mais il existe de nombreuses espèces aux formes et aux couleurs variées : genêt de Syrie, euphorbe de Corse, sedum, gaura…

Originaires des régions chaudes de l’ensemble du monde (bassin méditerranéen, Amérique du Sud, Afrique du Nord…) ces plantes déploient des fleurs de toutes les couleurs, odorantes et mellifères de surcroît.  De quoi ravir vos yeux tout en bénéficiant à l’écosystème de votre région !

Parce que le jardin sec supporte les grosses chaleurs et les sècheresses

Les canicules et les sècheresses deviennent plus courantes, et ce même dans des régions habituellement tempérées. L’eau devient une denrée de plus en plus précieuse.

Le jardin sec consomme peu d’eau. Mais ce n’est pas son seul avantage. En plus d’économiser l’eau, ses plantes savent aussi résister aux grosses chaleurs. Ces grosses chaleurs se caractérisent non seulement par une faible pluviosité, mais également par un fort ensoleillement. L’absence de nuages expose les plantes à un rayonnement ardent sur une durée prolongée.

Les végétaux des jardins secs peuvent endurer ce degré de chaleur et d’exposition solaire. Elles ne craignent donc rien des épisodes de canicule. Elles peuvent résister à l’ensoleillement même sans bénéficier d’une position ombragée.

Ainsi, l’aménagement de jardin sec convient parfaitement aux climats arides et semi-arides. Autrement dit, ils supportent l’exposition prolongée au soleil tout en ne consommant que très peu d’eau. Ils ne craignent pas l’absence de pluie et d’ombre. Vous n’avez pas besoin de les arroser et vous pouvez profiter de vos plantes même en pleine canicule.

Parce que le jardin sec supporte les grosses chaleurs et les sècheresses

Créer un jardin sec répond à des impératifs très actuels : résistance à la chaleur, faible consommation d’eau et résilience à l’ensoleillement.  Il mêle beauté visuelle et parfums enivrants, tout en proposant un espace adapté à la biodiversité locale.

Envie d’aménager votre jardin sec ? Faites appel à Expression Paysagère, expert paysagiste basé en plein massif du Luberon.

piscine naturelle le thor

Comment faire une piscine naturelle ?

La piscine naturelle se distingue des bassins traditionnels dans le fait qu’elle n’utilise aucun produits chimiques. En effet, c’est la végétation du bassin qui assainit l’eau du bassin. Le matériel y est réduit au minimum afin de laisser une flore aquatique s’y développer.

C’est selon cette réflexion qu’il faut donc axer la construction de piscines naturelles. Vous souhaitez en créer une dans votre jardin ? Demandez conseil à votre expert paysagiste du Luberon ! Basée près de Maubec, Expression Paysagère vous accompagne tout au long de votre projet de création d’une piscine naturelle.

Le type de filtration

Il existe deux types de filtration pour les bassins de baignade biologique. Leur nature conditionne l’architecture du bassin.  

La solution la plus naturelle consiste à assainir l’eau au moyen de la zone de lagunage. Cet espace héberge des plantes chargées de purifier l’eau. Pour fonctionner, elle doit représenter au moins 50 % de la surface totale de la piscine. Vous devez donc bénéficier d’un espace particulièrement grand pour ce type de filtration.

Une seconde solution propose un système plus proche des piscines traditionnelles. La zone de lagunage est remplacée par des filtres biologiques. L’eau est pompée et assainie à l’extérieur du bassin, avant d’être réinjectée dans le bassin de baignade naturelle. Ce système d’épuration permet de jouir d’une piscine naturelle même si vous ne disposez que d’un espace restreint.

Notez que le second type de filtration nécessite une installation électrique. L’électricité en milieu humide demande des compétences très particulières. N’hésitez pas à vous tourner vers un professionnel et votre mairie pour connaître toutes les normes de sécurité propres à ce type d’installation.

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Créer la piscine naturelle : les étapes

La création d’une zone de baignade biologique implique des travaux de différentes natures. Elle peut se diviser ainsi en trois étapes distinctes.

Le terrassement

C’est durant cette première étape que le bassin est creusé. Le terrassement peut être plus ou moins important en fonction de la dimension voulue et du type de système de filtration choisi.

Vous devez également prendre en compte la configuration de votre terrain. Est-il en pente ? La terre est-elle sableuse ou argileuse ? Y a-t-il des arbres à proximité dont les feuilles pourraient tomber dans la piscine ? Ces différentes questions permettent d’éviter des incidents bien fâcheux, tels que les affaissements de terrain.

Dans le cas d’une piscine biologique équipée d’une pompe, c’est aussi le moment où l’on creuse les galeries par lesquelles passeront les tuyaux et les fils électriques.

L’étanchéité du bassin

Deux bâches assurent l’étanchéité du bassin.

  • Le feutre de protection : il faut l’étaler au fond du bassin. Son rôle consiste à protéger la bâche imperméable des aspérités du sol ;
  • La bâche EPDM (éthylène, propylène, diène, monomère) : c’est un feutre qui va garantir la parfaite étanchéité du bassin. On l’étale par-dessus le feutre de protection. Ainsi, elle ne risque pas d’être trouée par des racines ou des pierres.

Veillez à laisser largement dépasser la bâche EPDM des bords du bassin. Recouvrez ensuite cette bordure de terre, afin de conférer un bel aspect aux berges de la piscine.

L’installation des plantes

Le type de végétaux plantés dans la piscine va varier en fonction du type de filtration choisi.

Les bassins avec une zone de lagunage vont accueillir des végétaux à rôle actif de régénération. Ainsi, vous devez y installer des plantes épuratives et oxygénantes. Elles vont empêcher la prolifération d’algues et maintenir la clarté de l’eau.

Les plantes ornementales viendront décorer les abords de votre piscine. Il s’agit de végétaux aquatiques et semi-aquatiques, qui viendront garnir les berges. Notez que les plantes flottantes (comme les nénuphars), outre leur fonction décorative, jouent aussi un rôle de régulateur, car elles empêchent la croissance des algues.

Les plantes ont besoin de terre pour pousser, même au fond de l’eau. Cependant, la terre de jardin se dissout dans l’eau. Vous devez donc vous fournir en terreau réservé aux plantes aquatiques. Répandez-en au fond du bassin. N’hésitez pas à le recouvrir de sable pour vous assurer qu’il reste bien au fond. Vous pourrez ainsi y installer vos plantes.

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La création d’une piscine naturelle implique beaucoup de travaux différents. De nombreux risques menacent votre installation en cas d’aménagement mal pensé : effondrement de terrain, porosité du bassin, dysfonctionnement de la pompe, mort des végétaux… N’oubliez pas que du bon équilibre de votre piscine dépend le niveau d’hygiène de son eau de baignade !

Organisez sereinement la création de votre piscine naturelle en faisant appel à un professionnel. Faites appel à Expression Paysagère et profitez de baignades dans un bassin tout aussi respectueux de votre santé que de l’environnement !

Comment planifier un aménagement paysager

Comment planifier un aménagement paysager ?

Eh oui, comment planifier un aménagement paysager ? Les beaux jours approchent, c’est l’occasion de redonner un coup de jeune à votre jardin !

Car cela ne s’improvise pas. L’aménagement paysager exige un minimum d’anticipation.  Il y a des paramètres très divers à prendre en compte : vos besoins, les spécificités du terrain, la législation en vigueur…

Alors, par où commencer ? Faites confiance à un expert et demandez à Expression Paysagère, votre expert paysagiste du Luberon. Nous menons de nombreux chantiers sur l’ensemble du département. Nous connaissons donc la bonne marche à suivre pour planifier votre aménagement paysager de manière cohérente et efficace.

Bien planifier l’aménagement paysager en réfléchissant au côté pratique de votre jardin

Tout d’abord, il convient de définir ce que vous souhaitez. Vos envies et vos besoins concernant vos espaces-verts constitueront la base de l’aménagement.

En général, nous conseillons à nos clients de considérer leur terrain comme une extension de leur maison. Ce point de vue aide à guider leurs choix et à bâtir un projet pertinent. Ainsi, tout comme lorsque vous aménagez une pièce, votre réflexion s’articule autour de vos souhaits et de vos besoins pratiques.

Appliquée aux parcs et jardins, cette technique vous permet de répondre à des questions concrètes. Par exemple, vous pouvez décider d’installer une terrasse attenante à la maison pour manger dehors, au milieu de votre plantation. Ou bien, vous pouvez savoir si vous avez besoin cabanon pour entreposer vos outils.

De cette manière, vous dresserez une liste des accessoires et travaux à réaliser. Le professionnel viendra également étoffer votre projet avec des idées de son cru. Il peut s’agir de travaux de terrassement, ou bien de l’installation d’une clôture. Idéal pour accompagner cette création de jardins.

Bien entendu, il ne faut pas pour autant négliger l’aspect esthétique. Vous rêvez peut-être d’installer une fontaine, d’ajouter des massifs de végétaux ou de monter une pergola. Là encore, le professionnel paysagiste vous aidera à concilier vos souhaits à la réalité du terrain.

Bien planifier l’aménagement paysager en réfléchissant au côté pratique de votre jardin

Le cadre législatif

Une fois les bases du projet jetées, vous devez vous pencher sur l’aspect législatif. En effet, le respect de la réglementation s’avère incontournable lorsque vous planifiez votre aménagement paysager. Autrement, vos travaux risquent de rester au point mort.

Que ce soit pour élaguer un arbre, construire une barrière ou installer  une cabane, la loi encadre chaque démarche. Notez qu’en plus du cadre législatif national, il existe également un règlement local. Ainsi, les autorisations et les interdictions ne sont pas les mêmes en fonction de la commune où vous résidez.

Il vaut mieux vous informer directement auprès de votre mairie. Ainsi, vous saurez quels permis de construire sont nécessaires et quelles sont les interdictions en vigueur dans votre commune.

Au-delà du cadre législatif, nous vous recommandons aussi de prendre en compte l’avis de vos voisins. Les travaux d’aménagement extérieur vont peut-être les impacter (avec la construction d’une clôture, par exemple). N’hésitez pas à discuter avec eux de votre projet afin de les prévenir des travaux entrepris. Ainsi, vous éviterez tout malentendu qui pourrait résulter à une dispute.

Ne pas oublier l’aspect technique quand on planifie l’aménagement paysager

Le côté technique des travaux se trouve un peu trop souvent oublié lors de la planification de l’aménagement paysager. Pourtant, il est d’une importance primordiale.

En effet, il concerne l’ensemble des paramètres de votre terrain. Climat, nature du sol, topographie, plantations et constructions déjà existantes… Aucun espace vert n’est semblable à un autre, aussi, il vous faut bien connaître le vôtre pour planifier son aménagement.

En répertoriant toutes les caractéristiques du terrain, vous pourrez bâtir un projet réaliste et pertinent. Si vous négligez cette étape lorsque vous planifiez votre aménagement, vous risquez de vous heurter à bien des obstacles. Eh oui ! Impossible d’implanter un végétal qui n’est pas adapté à votre climat. Ou bien de construire une cabane sur un sol instable, au risque que la construction s’écroule !

Ne pas oublier l’aspect technique quand on planifie l’aménagement paysager

En bref, il vous faut planifier vos aménagements paysagers selon trois piliers : le côté pratique et esthétique, le cadre légal et l’aspect technique.

Cependant, ces trois axes nécessitent de bonnes connaissances en aménagement paysager. Vous ne pouvez pas tout organiser seul, au risque de faire des erreurs qui pourront compromettre le projet. L’expertise d’un paysagiste de métier est donc indispensable.

Alors faites appel à Expression Paysagère, votre expert paysager basé à proximité de Maubec. Envie d’aménager vos extérieurs ? Appelez-nous !

créer bassin naturel

Comment créer un bassin naturel ?

Vous voulez créer un bassin naturel dans votre jardin ? Voilà une excellente idée, car ce type d’installation propose une réponse pertinente à la problématique écologique. Elle offre également un aspect esthétique très apprécié. Cependant, ne vous lancez pas tête baissée dans les travaux ! Le bassin naturel doit pouvoir s’équilibrer avec un minimum d’intervention humaine. Or, cela implique une  conception exempte du moindre défaut afin que la faune et la flore puissent s’y développer en toute autonomie.

Alors, comment créer un bassin naturel ? Découvrez comment procéder avec votre paysagiste du Luberon, Expression Paysagère.

Choisir le bon emplacement

L’emplacement de votre futur bassin naturel est d’une grande importance.  De manière générale, il vaut mieux favoriser un lieu ombragé. Ceci, car l’ensoleillement prolongé chauffe l’eau et engendre une hausse du taux de nitrate. Or, le nitrate favorise la croissance de certaines algues envahissantes. Votre bassin risque donc de ressembler à une mare verdâtre et malodorante. Elle sera inhospitalière pour de nombreuses formes de vie. En conséquence, l’écosystème recherché ne pourra jamais s’y installer.

Pour vous éviter ce problème, mieux vaut placer le bassin à l’ombre d’un mur ou d’un arbre à feuilles persistantes. Attention, nous avons bien précisé : feuilles persistantes. Eh oui ! Évitez à tout prix de l’installer sous un arbre à feuilles caduques. Elles risquent de se déposer dans le bassin pendant l’automne et de polluer l’eau.

En bref, optez pour un emplacement ombragé auquel votre bassin apportera de l’humidité. Cela créera un biotope idéal pour de nombreuses formes de vie aquatiques et semi-aquatiques.

créer bassin naturel choisir bon emplacement

Un peu de matériel pour créer un bassin naturel

Le terme « bassin naturel » suppose que l’intervention humaine  y est réduite au strict minimum. Cependant, il sera quand même nécessaire d’équiper le bassin de quelques accessoires.

  • Du feutre géotextile : on tapisse le fond et les bords du bassin aquatique avec du feutre géotextile. Il va ainsi isoler la bâche imperméable du sol. Cela préservera cette dernière d’éventuels dégâts causés par des cailloux, des roches ou encore des racines.
  • Une bâche imperméable : la bâche imperméable s’installe au-dessus du feutre géotextile. Elle isolera l’eau du bassin de la terre et protégera les berges des risques d’affaissement.
  • Du sable : on verse du sable et des graviers au fond du bassin. Ils formeront une base optimale sur laquelle s’implanteront les plantes aquatiques et où se cacheront les insectes, les poissons et les amphibiens. Le sable joue aussi un rôle purificateur et de filtration. Il contribue donc à la propreté et à la transparence de l’eau.
  • Une pompe : il est nécessaire d’assurer un mouvement d’eau régulier dans le bassin. Une petite pompe en circuit fermé suffit amplement à impulser ce mouvement d’oxygénation qui peut rester très discret.

En outre, nous vous conseillons de prévoir une profondeur minimum de soixante centimètres pour votre bassin. Pourquoi ? Tout simplement parce que l’eau ne gèlera pas à partir de cette profondeur et préservera vos plantes et vos animaux.

La flore et la faune du bassin naturel

Les plantes et les animaux qui peupleront le bassin n’auront pas seulement un rôle décoratif. Chaque espèce contribue à maintenir l’équilibre du plan d’eau. Cela concerne notamment la pureté de l’eau et la stabilisation des berges.

Dans tous les cas, nous vous recommandons de choisir des végétaux et des animaux endémiques de votre région. Chez Expression Paysagère, nous intervenons dans le département du Vaucluse. Nous optons donc pour des plantes que l’on retrouve dans le Sud de la France : menthe aquatique, osier rouge ou rouge, glycérie plissée, plantain d’eau…

Bien entendu, vous pouvez aussi choisir une plantation « emblématique » du bassin naturel : les nénuphars, ou encore les lotus. Ces végétaux implantent leurs racines au fond de l’eau. Ils déploient ensuite leurs tiges, leurs feuilles et leurs inflorescences à la surface.

Une fois les plantes installées, la faune devrait occuper d’elle-même ce jardin aquatique. Insectes, amphibiens, oiseaux et mammifères vont coloniser les berges si ces dernières répondent à leurs besoins (nourriture, abri…). De votre côté, vous pouvez installer des poissons dans l’eau (des poissons rouges, des carpes…), une fois que les plantes sont bien développées.

créer bassin naturel faune et flore

Ce type de création, même pour un petit bassin naturel, implique d’importants travaux. Et elle ne s’improvise pas ! Car de nombreux désagréments peuvent survenir si la réalisation est mal maîtrisée : effondrement des berges, mauvaise étanchéité ou qualité de l’eau, mort des végétaux ou des animaux…

L’expertise professionnelle constitue donc un impératif afin de construire un bassin viable. Faites appel à un expert paysagiste pour éviter les mauvaises surprises et mener vos travaux sereinement. Implantée près de Maubec, Expression Paysagère vous offrir son savoir-faire pour concevoir votre bassin naturel, où que vous résidiez dans le Vaucluse.

jardin potager

Comment créer son jardin potager ?

Le printemps approche doucement, et vous vient alors une idée : créer un jardin potager. Pratique séculaire qui a perduré pendant des millénaires, l’entretien d’un potager s’est perdu au fil des décennies. Pourtant, la pratique revient plus que jamais à la mode, aujourd’hui, faisant suite aux préoccupations écologiques de notre société.

Expression Paysagère, votre paysagiste du Luberon, nous avons toujours soutenu et encouragé la création de jardins potagers. Les multiples avantages qu’ils offrent vous bénéficieront non seulement sur le plan économique, mais également écologique, et même sanitaire.

Établir son terrain potager

Vous avez peut-être déjà des idées de variétés à planter. Mais avant de vous rendre en jardinerie, il faut d’abord décider du terrain sur lequel faire vos cultures.

Quelle que soit la taille de votre jardin, il est inutile de le convertir entièrement en potager. C’est même l’inverse ! Un petit potager offre un triple avantage :

  • faciliter le travail du sol (bêchage, compostage, paillage…) car moins de surface à entretenir ;
  • faire d’importantes économies d’eau grâce à la petite taille du jardin potager ;
  • réduire la fatigue physique lors de vos heures de jardinage.

On pourrait penser qu’un terrain trop petit nuirait à la production. Pourtant, il n’en est rien ! Les légumes peuvent se développer dans un espace restreint, à condition de leur donner les conditions optimales pour grandir.

jardin potager terrain

Nourrir le sol

La naissance et l’essor de l’agriculture biologique a sensibilisé le grand public à l’importance du sol pour la croissance des plantations. Effectivement, la terre de votre potager va jouer un rôle essentiel. Même s’il est possible d’opter pour la culture en pots, un sol vivant se caractérise par une plus grande richesse en matières organiques. L’élément organique en décomposition et les insectes fournissent tous les nutriments dont vos cultures auront besoin.

Nourrir le sol est donc primordial. Cela vous permettra, en plus de vous garantir des récoltes abondantes, de vous passer d’engrais chimiques. Vous produirez ainsi dans un potager bio sains sans risque pour la santé. Pour ce faire, il existe une méthode simple : utiliser du compost. Le compost se trouve en jardinerie. Vous pouvez aussi en faire vous-même, si vous en avez la patience. En effet, il faut attendre plusieurs mois pour que le compost se forme. Dans les deux cas, recouvrez votre carré potager avec le compost dès l’automne.

Nous vous conseillons également de recouvrir votre potager en carrés de feuilles mortes. Elles vont se décomposer et apporter tous les nutriments nécessaires à la terre. Cependant, attention : il est interdit de prélever des feuilles mortes dans certains parcs et forêts. Veillez à vous renseigner auprès de votre mairie.

Les cultures pour le jardin potager

Nous arrivons ici au cœur de votre projet : vos futures plantations ! Vous pouvez faire pousser les légumes (haricots, radis, carottes, courgettes, …) et plantes aromatiques que vous voulez, dans le respect, bien sûr, des conditions climatiques de votre région.

Le potager vous donne la formidable opportunité de produire une alimentation saine et complète. En effet, il faut savoir que les aliments cultivés en jardin sont généralement plus riches en nutriments que ceux achetés en grande surface. Ils ont également une odeur et une saveur plus prononcées. En goûtant une tomate achetée dans le commerce et vos tomates directement cueillies sur le pied, vous constaterez une vive différence !

Vous avez le choix entre des graines à semer et des jeunes plants à planter. Si vous débutez dans la culture du jardin potager, nous vous conseillons de favoriser la seconde option. Vous serez ainsi plus assuré d’en récolter arrivée à la belle saison.

Avant de vous lancer dans la plantation, dressez un plan de votre future parcelle. Création d’un sentier pour circuler entre les plants, installation d’un muret ou d’une haie d’arbustes coupe-vent, disposition des cultures, système d’arrosage… Voilà autant de critères à prendre en compte pour l’élaboration d’un potager.

jardin potager jardiner

Les bénéfices du jardin potager ne sont plus à prouver ! Produire vos propres concombres, laitues et poivrons préservera votre porte-monnaie tout en protégeant votre santé. Car jardiner constitue une activité physique douce tout en améliorant le moral. La proximité avec la nature contribue aussi à la baisse du stress et des angoisses.

Alors ne vous en privez pas ! Vous pourrez cultiver vos fruits et légumes pour une alimentation plus saine et plus savoureuse ! Appelez Expression Paysagère, votre expert en aménagement extérieur dans le massif du Luberon. Nous créerons ensemble les bases de votre jardin potager.

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Comment faire un enrochement paysager ?

L’enrochement paysager participe à l’embellissement de vos espaces-verts et de votre plantation. Il est donc naturel que vous optiez pour cette solution afin d’optimiser l’esthétique de votre espace. Mais comment faire un enrochement paysager ? La question est légitime, et pour cause ! L’enrochement reste une opération délicate, car les pierres sont difficiles à manipuler. Cependant, leur agencement conditionne le côté décoratif et la durabilité de l’enrochement.

Expression Paysagère, votre paysagiste du Luberon, répond à toutes vos questions.

Établir des plans de l’enrochement paysager

L’enrochement paysager constitue une procédure d’aménagement extérieur à part entière. Á ce titre, il est nécessaire d’établir des plans avant d’entamer ce type de travaux paysagers.

Lors d’un premier repérage, vous devez donc dresser un plan de votre jardin. La topographie du terrain va occuper la place centrale de votre réflexion. Car même si l’enrochement paysager joue un rôle surtout ornemental, il influence sur le relief des terrains et de potentiels travaux de terrassement. L’objectif sera de préserver une topographie autant sécurisée qu’harmonieuse.

Le plan vous aidera à visualiser les aménagements de votre futur enrochement. Vous pourrez ensuite en déduire son orientation (nord, sud, ouest ou est). Vous serez aussi en mesure d’estimer ses dimensions et sa forme générale. Et enfin, vous allez pouvoir en déduire le type de pierres qu’il vous faut pour faire l’enrochement paysager. En effet, ces enrochements ne sont pas les mêmes au fond de jardins, contre une clôture, une série de murets ou aux abords de terrasses !

Comment choisir les roches ?

C’est la matière première de l’enrochement. Il vous faut donc y consacrer une attention particulière.

Vous devez sélectionner vos roches en fonction de différents critères.

  • Le type de roche : pour faire un enrochement paysager, nous vous conseillons de choisir le type de pierre selon des critères esthétiques. Vous aurez le choix entre l’ardoise, le schiste noir, le calcaire jaune ou blanc…
  • Le calibre de la roche : ce critère vous permet de décider du volume et de la masse des pierres. Optez plutôt pour des roches toutes du même calibre. Ainsi, vous faciliterez leur mise en place lors du chantier d’enrochement.
  • La quantité des roches : elle variera en fonction de votre projet d’enrochement. N’hésitez pas à vous faire conseiller par un spécialiste. Il pourra estimer la bonne quantité de pierres pour votre chantier. En effet, c’est ce nombre que vous allez communiquer auprès de votre fournisseur de pierres.
  • Se procurer et transporter les roches : vous pouvez acheter vos pierres directement auprès des carrières ou des paysagistes, ou encore dans les magasins de bricolage. Ces différents professionnels effectuent généralement des livraisons à domicile.

Gardez en tête qu’un enrochement implique des travaux importants de votre espace-vert. Cela s’explique surtout par le poids d’une pierre naturelle : plusieurs centaines de kilos, voire plusieurs tonnes. Sans compter les manipulations nécessaire, comme un remblai ou un talus. C’est pourquoi nous vous recommandons chaudement de louer un appareil de chantier (pelle mécanique, tractopelle…). Il vous sera indispensable afin de déplacer et d’entreposer les roches pour tout aménager. Un réel travail de maçonnerie taille XXL !

Confier votre enrochement paysager à une entreprise du paysage

Les étapes à suivre pour faire l’enrochement paysager sont nombreuses. Elles exigent des compétences spécifiques et de l’expérience dans les aménagements paysagers.

En effet, vous devez auparavant préparer le terrain. Le plus simple consiste à creuser un sabot (c’est-à-dire une tranchée). Il faut ensuite le recouvrir d’une bâche géotextile, puis le remplir de gravier. Ainsi, vous obtenez une base à laquelle les roches vont « s’ancrer », tels des fondations. Cela permet de diminuer les risques d’affaissement de terrain, ainsi que des mouvements dus à une pente. En effet, un mur de soutènement n’est pas toujours suffisant pour ce type d’aménagement de jardin !

De plus, au-delà de savoir manipuler les engins de chantier, vous devez également pouvoir empiler vos pierres sans risque que le tout s’effondre. L’enrochement paysager n’utilise aucun mortier pour fixer les pierres entre elles. Aussi, il revient au constructeur de savoir les empiler de manière à garantir la solidité de la structure. Le tout en se projetant dans le temps et ses effets (avec l’érosion, par exemple). Avoir un bel espace extérieur est une chose, se promener en sécurité dans vos futures allées en est une autre !

N’oublions pas que les roches pèsent plusieurs centaines de kilos. Aussi, il faut savoir les empiler entre elles au moyen de l’appareil de chantier. La moindre maladresse risque de compromettre l’intégralité de la structure et donc de vos aménagements extérieurs. Un accident peut vite arriver !

Faire un enrochement paysager nécessite un réel savoir-faire. Aussi, nous vous conseillons fortement de vous faire assister par un professionnel du paysage. Les paysagistes disposent des connaissances d’aménagement paysager et de l’équipement nécessaires pour mener à bien votre projet.


Ne vous lancez pas seul dans l’enrochement paysager de votre jardin. L’aide et l’expertise d’un professionnel vous garantit la réussite de votre enrochement dans les meilleurs délais.

Faites appel à Expression Paysagère, votre expert paysagiste basé à Maubec, dans le Vaucluse. Nous prenons en charge l’enrochement de votre jardin, de son étude à sa conception

Comment définir le plan d’aménagement de son jardin ?

Vous avez décidé d’aménager votre jardin. Il peut s’agir d’une modification d’un aménagement déjà existant, ou la création de jardins de A à Z sur un terrain en friche. Dans les deux cas, vous allez devoir créer la clé de voûte de votre projet : le plan d’aménagement du jardin. Mais comment les définir ?

Expression Paysagère se consacre à l’aménagement paysager et d’espaces-verts depuis de nombreuses années. Forts de notre expérience dans l’ensemble du Luberon où nous sommes implantés, nous connaissons bien l’importance des connaissances de paysagistes pour réussir l’aménagement d’un jardin.

Un plan d’aménagement qui s’adapte à l’environnement de votre jardin

Vous fourmillez peut-être déjà de belles idées pour l’aménagement de votre jardin. Et c’est bon signe ! Le jardin constitue une belle opportunité de laisser libre cours à votre créativité et à vos envies.

Cependant, il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs. Avant de vous lancer dans l’élaboration du plan d’aménagement de votre jardin, prenez le temps de bien analyser votre terrain. N’hésitez pas à vous y promener à plusieurs reprises et à prendre des photos si nécessaire.

Loin d’être anodine, cette première phase vous fournit des informations essentielles : les dimensions du terrain, son orientation, la nature du sol, etc.

Ces informations vont ensuite orienter vos décisions d’aménagement de jardin. Elles vous permettront notamment de choisir vos plantes (grâce à la nature du sol, du climat et du taux d’ensoleillement). Vous pourrez également décider des éléments que vous garderez et de ceux que vous retirerez, comme pour le maintient ou la pose d’une pelouse.

Nous vous conseillons d’élaborer un croquis de votre terrain et des éléments qui y existent. Il constituera la base à partir de laquelle vous entamerez votre plan pour vos futurs aménagements.

Comment définir un plan d’aménagement de jardin ergonomique ?

Une fois le croquis de votre terrain effectué, vous allez pouvoir commencer votre plan d’aménagement extérieur. Mais encore une fois, nous vous déconseillons de procéder à la va-vite. Car avant d’être esthétique, votre jardin doit avant tout être fonctionnel.

Dans un premier temps, commencez par définir vos envies et vos besoins. Souhaitez-vous installer un carré potager ? Envisagez-vous d’aménager une terrasse ? Allez-vous installer des jeux pour les enfants ? Prévoyez-vous la mise en place de clôtures ?

Dans un second temps, compartimentez votre terrain en zones distinctes. Chaque zone sera réservée à une activité ou à un type de plantation. Vous pourrez les séparer vos massifs au moyen de dispositifs variés : une haie, un muret en pierre sèche, une pergola ou bien une allée.

Enfin, dans un troisième temps, vient le moment de relier vos zones via des chemins. Les déplacements dans votre jardin font l’objet d’une profonde réflexion. Ils se doivent de suivre un parcours cohérent et fluide. En effet, on ne veut pas faire des crochets inutiles pour éviter des obstacles.

De plus, les sentiers de circulation doivent être parfaitement sécurisés. C’est l’occasion de répertorier tous les risques potentiels du terrain (trou dans le sol, branches d’arbres et arbustes qui menacent de tomber, sol glissant, positionnement du système d’arrosage automatique de vos plantations…). Avoir un beau jardin est une chose, pouvoir se balader librement dans ses allées en est une autre ! De plus, sécuriser la zone facilitera d’autant plus l’entretien des espaces verts.

Respecter les besoins des végétaux

Vous avez effectué un croquis de votre terrain, et vous avez entamé les plans d’aménagement. Vos zones sont définies et vos accessoires choisis. Il ne vous reste plus qu’à sélectionner vos plantes.

Le choix des végétaux est d’abord guidé par la nature de votre environnement. Il faut donc les choisir en fonction de leurs besoins. Certaines plantes craignent la lumière tandis que d’autres la recherchent. Ainsi, songez à l’orientation du soleil et le taux d’ensoleillement quotidien pour choisir quel végétal planter dans chaque zone.

Le choix des plantes constitue donc une étape délicate. Le but consiste à harmoniser l’esthétisme du jardin aux besoins des végétaux. En effet, la moindre méconnaissance des plantes choisies risque de compromettre leur développement. L’aide et l’expertise d’un professionnel s’avère bienvenue, si ce n’est indispensable, pour aiguiller judicieusement vos choix paysagers.

Il relève de la fonction du paysagiste de conseiller à ses clients les plantes les plus adaptées à leur terrain et aux conditions climatiques. Grâce à ses connaissances avancées, il peut proposer des associations végétales qui correspondent à la fois à vos envies, votre terrain et aux besoins des plantes elles-mêmes.

En conclusion, l’étude et la conception d’un plan d’aménagement doit respecter trois impératifs : l’adaptation à l’environnement direct, l’ergonomie du jardin et le respect des besoins des végétaux.

Cela requiert néanmoins un certain savoir-faire ainsi que d’excellentes connaissances en botanique. N’hésitez pas à faire appel à un expert paysager pour vos plans d’aménagement. Expert paysagiste du Luberon, Expression Paysagère intervient dans tout le département du Vaucluse.

paysagiste

Que fait un paysagiste ?

Le paysagiste exerce une activité aux visages multiples. C’est lui qui vous accompagne tout au long de votre projet d’aménagement, depuis sa conception jusqu’à son entretien. De ce fait, il accumule des compétences extrêmement variées. Ses excellentes connaissances en botanique se conjuguent à la manipulation de la machinerie utilisée pour les gros travaux. Sa créativité constitue également un pivot essentiel de son activité. Grâce à son expertise, votre jardin devient non seulement esthétique, mais aussi un cadre de vie pratique et ergonomique.

Découvrez chaque facette de notre métier avec Expression Paysagère, votre expert paysager basé dans le massif du Luberon.

La conception

Pour commencer, le travail d’un paysagiste se définit par une phase d’étude et de conception. Lors d’une première visite avec vous, nous établissons ensemble votre projet d’aménagement paysager. Cette phase s’articule d’abord autour de discussions. Vous nous faites part de vos envies et de vos besoins. Nous fixons ensemble ce que vous voudriez voir dans votre jardin, et, à l’inverse, ce que vous voudriez éviter d’aménager (il peut s’agir de plantes comme d’accessoires).

paysagiste etude conception

De notre côté, notre bureau d’étude observe le terrain sur lequel nous sommes amenés à travailler. Climat, topographie et type des sols vont en effet conditionner les travaux à venir. Grâce à cette étape, notre casquette de concepteur nous permet de combiner vos souhaits à la réalité du terrain de vos futurs espaces-verts. De même, nous pouvons vous donner des suggestions d’aménagement de l’espace et nous vous proposons des plantes qui s’épanouiront dans votre jardin.

Ainsi, nous traçons avec vous les grandes lignes de votre projet. Nous avons comme objectif principal de valoriser votre terrain en soulignant ses qualités, tout en gommant ses éventuels défauts. Le tout par l’application de différents principes paysagers.

L’aménagement par un paysagiste

Avec cette seconde étape, nous entrons dans le vif du sujet !

En tant que paysagistes, nous menons l’ensemble des travaux nécessaires. De la nature de votre projet dépend l’ampleur des travaux. Et il ne s’agit pas uniquement des plantations de végétaux dans vos futurs massifs. Certes, l’aspect botanique demeure central dans notre intervention. En plus de gérer la plantation des végétaux, nous veillons à leur sélection et à leur emplacement. Le climat, la nature de votre sol et le type de jardin orientent notre choix. Leur aspect esthétique ainsi que leurs conditions d’entretien entrent également dans les critères de sélection.

Cependant, les plantes, arbres et arbustes seuls ne suffisent pas à élaborer de beaux aménagements paysagers. Lors de la conception de votre projet, nous avons établi les plans du jardin. Cela implique l’installation d’accessoires (terrasses, fontaines, pagodes, etc.) et l’aménagement de sentiers. C’est pourquoi nous procédons également à des opérations de terrassement quand cela s’avère nécessaire. L’aménagement de jardin implique donc des compétences techniques diverses. Nous combinons différents savoir-faire (botaniques, conduite et manipulation d’engins de chantier, plomberie, etc.) afin de pouvoir mener à bien vos travaux paysagers et l’aménagement de vos parcs et jardins.

paysagiste amenagement paysager

Le suivi de votre projet

Ce n’est pas parce que votre jardin est aménagé que nous vous abandonnons. Bien au contraire ! Nous avons pour philosophie d’entretenir le lien avec nos clients, en vue de suivre l’évolution de leur jardin ou du végétal qui l’habite. Les plantes sont des êtres vivants. Elles grandissent, se développent et évoluent. Aussi, elles exigent un entretien plus ou moins soutenu. La faune ainsi que la flore locale interagissent directement avec votre jardin. C’est donc tout un écosystème qui s’installe dès la fin des travaux d’aménagement.

Durant les mois suivant l’installation de votre jardin, nous veillons au bon développement de vos végétaux. Et, une fois que toutes les plantes se sont bien enracinées, nous restons à votre écoute pour répondre à toutes vos questions. Bien que nous ne sommes pas jardinier, notre expertise vous sera d’une aide précieuse. Qu’il s’agisse de question sur la tonte du gazon, de la taille des haies et des arbres ou encore de la maintenance de l’arrosage automatique

De surcroît, elle nous permet également de rester à l’écoute de nos clients. Vous pouvez ainsi nous communiquer vos nouvelles idées paysagères, ou de nous faire part de vos opinions sur les aménagements : ce que vous aimez, ce que vous n’aimez pas, les problèmes rencontrés au quotidien. Nous restons à votre écoute et surtout, nous ne sommes jamais très loin !

Vous savez maintenant tout sur notre activité ! Le métier de paysagiste se définit par une véritable passion de la botanique et de l’espace extérieur, combinée à de nombreux savoir-faire. Nous maîtrisons le chantier d’aménagement du début à la fin, depuis sa conception jusqu’à son entretien.

Á Expression Paysagère, nous avons également souhaité valoriser le savoir-faire de notre patrimoine local : le Vaucluse. Implantés à Maubec, nous proposons des constructions en pierres sèches et l’aménagement de bassins naturels. Car le métier de paysagiste, comme pour toute entreprises du paysage, c’est aussi de préserver notre région,  son environnement naturel comme son patrimoine architectural.